Voir dans chaque aléas une opportunité… C’est le deuxième grand principe de la philosophie Stoïcienne. (Voir le premier). En s’en inspirant les managers désemparés, malhabiles, stressés et au final en souffrance parviendront à retrouver la stabilité émotionnelle face à l’imprévu et la capacité à déjouer avec sérénité l’imprévisible.
Selon Epictète, ce n’est pas l’événement en soi qui fait souffrir mais la façon dont on l’interprète. Le manager a le choix entre deux postures : ne voir dans l’événement qui lui est défavorable qu’un préjudice à son confort, son organisation ou à l’image qu’aura de lui sa hiérarchie. Ou, a contrario, voir dans l’aléa ce qu’il peut en apprendre, ce qui va développer ses compétences et celles de son équipe, améliorer son service, le sortir de la routine… in fine développer plus de performance. Comme le rappelle Marc Aurèle, il est utile et nécessaire d’orienter son mental vers une interprétation positive de la situation afin de gérer au mieux l’événement.